A venir dans Les Nouvelles n° 99 Avril 2011

Chères concitoyennes, chers concitoyens,

Lors de la présentation du budget 2011 devant quelques habitants, le Maire précisait que celui-ci était en équilibre, à la différence de celui de l’Etat. Mais, l’état ne viole pas la loi, (ce qui serait un comble reconnaissons-le), car celle-ci prévoit ce déséquilibre. Or que lisons-nous dans le monde du 17 mars ? ‘Le parti socialiste s’oppose à l’inscription dans la constitution d’une règle anti déficit’. En effet un projet gouvernemental prévoit ‘une règle de gouvernance’ visant à instaurer ‘une meilleure discipline’ budgétaire, et à tendre vers l’équilibre des comptes publics. Argument développé par les députés socialistes : ‘la lutte contre les déficits est nécessaire, mais est une affaire de volonté politique et non d’obligation constitutionnelle’. Pourtant ‘ce texte est à la virgule près, celui proposé l’an passé par la commission camdessus où Jérôme cahuzax (président ps de la commission des finances de l’assemblée) siégeait et qu’il avait approuvé’. Droite ligne de la logique socialiste qui est de toujours faire de l’obstruction.

Vous ne l’ignorez pas, le Maire a été contraint d’acheter l’eau, d’excellente qualité, à la ville d’Orléans. Nous nous étions, dès le début, prononcé pour cette solution, ce qui n’était pas le cas de la majorité municipale. L’accord avec Orléans nous liait jusqu’en 2011. Nous y sommes maintenant et qu’entendons-nous ? Il semblerait que rien ne changerait avant la fin d’une nouvelle convention (de 12 ans...) que la ville d’Orléans passera avec la lyonnaise ou un autre opérateur.

Quant à la zac d’Alleville qui devait être un exemple d’éco-quartier, les dernières études montrent que dans cette zone, il n’est plus prévu qu’un ‘éco-hameau’ de quelques logements sur les 396 prévus.

Certains d’entre vous, nous font part de leur frustration, estimant que nos sujets sont insuffisamment développés. Mais nous n’avons droit qu’à 1700 caractères par article. D’où la difficulté d’approfondir les thèmes. Croyez bien que nous en sommes les premiers désolés.

Antoinette parayre                                                        Claude Huyghues des etages

Une autre vision pour saint jean de la ruelle